L'Héribus - De nouveaux logements sociaux durables et abordables à Mons

Press Release

« L’Héribus » offrira un lot de 24 appartements sociaux aux technologies dernier cri

Un lot de 24 appartements résidentiels commercialisés dès aujourd’hui, d’une à trois chambres, sera construit à Mons dès 2024. Ce projet, baptisé L’Héribus, s’inscrit dans le cadre du parc immobilier de 521 logements destinés à des ménages en état de précarité ou à revenus modestes. Il est géré par Mon(s) Logements, l'Agence immobilière sociale de Mons. Construits avec les technologies dernier cri en termes de consommation énergétique et de réduction d’émissions de CO2, ces nouveaux logements sociaux offrent de nombreux attraits pour les investisseurs immobiliers.

L’Héribus

Le projet Héribus a été développé par la société BYGG, créée fin 2022 par Matthieu Pacco et Wouter Vantornout. L’un et l’autre ingénieurs civils spécialisés en construction, ils se sont lancés dans leur projet avec l'appui financier de plusieurs investisseurs.

Durabilité à prix abordable dans la ville dynamique de Mons

Tout est optimisé dans ces appartements compacts afin d’assurer le meilleur confort : chauffage au sol, petite terrasse, débarras, grandes vitres, etc. Le prix d’un appartement ​ débute à 170.000 € environ. Ce prix n'est pas très élevé pour la ville de Mons, compte tenu qu’il s’agit en plus de logements neufs dernier cri et hyper performants sur le plan énergétique. Les 24 logements sont dotés d'un système de pompe à chaleur ; il n’y a aucune connexion au gaz. L'électricité nécessaire au fonctionnement de ce système est fournie en grande partie par des panneaux photovoltaïques. L'orientation des toits a été déterminée afin de maximiser leur production. L'orientation des appartements a aussi été étudiée afin de pouvoir profiter de la meilleure luminosité.

« Notre ambition clairement affichée est d'exercer un impact sociétal positif, à la fois sur le plan social et environnemental. Quand on sait que le chauffage résidentiel compte pour environ 14 % des émissions à effet de serre, c’est non négligeable. Il est essentiel de respecter les normes européennes qui conduiront à réduire l’émission de CO2 de 55% pour 2030 (par rapport à 1990). La présence de la pompe à chaleur et des panneaux photovoltaïques garantit en outre une minimalisation des coûts pour le locataire et une maximalisation de la plus-value potentielle pour l’acquéreur du bien. » ​

Matthieu Pacco, managing partner de BYGG

« Mons est une ville en pleine croissance, comme en atteste par exemple la présence d’organisations telles que l’OTAN ou Google. Il y a en outre encore de nombreuses opportunités de développement économique, notamment grâce à la disponibilité de terrains à des prix attractifs pour des sociétés désireuses de s’y installer. À terme, cela va booster la création d'emplois et le besoin de logements. Enfin, ces dix dernières années, le prix moyen des appartements a augmenté plus vite que dans d’autres villes de Wallonie, ce qui constitue un élément d’attraction supplémentaire pour les investisseurs. » ​

Wouter Vantornout, managing partner de BYGG

Une gestion sûre par l’agence immobilière sociale (AIS)

Le rôle d'une agence immobilière sociale (AIS) est de gérer pour le compte de tiers - personnes physiques ou morales - des biens immobiliers locatifs à loyers modérés. Interlocutrice directe des propriétaires, bailleurs et locataires, l’AIS assure la recherche de locataires, la rédaction des baux, les états des lieux d’entrée et de sortie, ainsi que le suivi des obligations locatives et des paiements. Entre deux locations, l’AIS assume en outre la remise en état du logement. Pour le propriétaire d’un tel bien immobilier, tout ceci est évidemment synonyme d’un grand confort. L'intervention de l'AIS lui fait gagner bien du temps et épargner bien des soucis. Il ne doit en effet pas s’occuper de dénicher des locataires et le paiement du loyer et des charges lui est garanti par l’AIS... même lorsque l'appartement est inoccupé ! Difficile de trouver mieux en termes de stabilité et de tranquillité d'esprit. De toutes façons, vu les longues listes d'attente pour obtenir un logement social, celui-ci ne risque pas de rester vide bien longtemps.

Un investissement sûr et attractif

Matthieu Pacco admet que « la hausse significative des taux d'intérêt qu'on enregistre ces derniers temps peut faire hésiter certaines personnes à investir dans l’immobilier. Le rendement brut des obligations d'État est remonté à 2,5 ou 3 % et certains comptes en banque à durée limitée sont redevenus plus intéressants. » Toutefois, il relève la maîtrise que l’on a sur la finalité de son investissement avec le projet L’Héribus : « Lorsqu’on place son investissement à la banque, on ne sait jamais très bien à quoi il servira. Avec notre projet, on a un investissement avec un impact humain très visible.» Il y a aussi la sécurité de l'investissement : l'AIS garantit le paiement des loyers durant toute la durée du bail, soit plus de 27 ans. « Vu l'inflation, les loyers, qui sont liés à l'évolution de l'indice-santé, seront régulièrement indexés. » En outre, l’acquéreur du bien immobilier bénéficie d’un double avantage non négligeable : d’une part, un taux réduit à 12 % de la TVA, au lieu de 21 % ; d’autre part, une baisse significative du précompte immobilier, voire une exonération complète s’il achète en personne physique. « Nous remarquons aussi que bon nombre d’investisseurs acquièrent ce type de bien dans le cadre de la planification de leur succession. C’est une opération fiscalement intéressante pour les héritiers. » «L’immobilier reste une valeur sûre. Il s’agit ici d’un rendement stable sur le long terme. Vu l’indexation des loyers, les revenus locatifs augmenteront en effet sur la durée du bail. Ce n’est pas le cas d’autres produits comme les obligations et les comptes à terme, dont les rendements diminueront immanquablement à l’avenir », conclut Matthieu Pacco.

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